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L'islam dévoilé aux Nuls
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22 janvier 2014

Le Mausolée de Salâh -ad-Dîn (Saladin) à DAMAS

A DAMAS se trouve, près de la Grande Mosquée des Omeyyades, le Mausolée (photo ci-dessous) du célèbre général arabe Saladin (Salâh ad-Dîn), principal adversaire et vainqueur des Croisés à la bataille de Hâttin en 1187 dans le Nord de la Galilée.

 

IMG_saladin

Photo ci-dessus : à DAMAS, la Porte par laquelle le futur apôtre PAUL, ex- centurion romain envoyé à Damas pour y faire la chasse aux chrétiens et converti au christianisme, puis menacé d'arrestation,s'enfuit de Damas  dans une nacelle en osier accrochée au sommet de la tour par des cordes...

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(Extrait de Wikipédia)

<<Éloge de Saladin par Usâma ibn Munqidh qui fut l'un de ses compagnons d'armes :

« Plaise à Dieu d'embellir l'islam et ses fidèles en donnant longue vie à Salâh ad-Dîn, en les aidant par le tranchant de son épée et ses décisions, en les abritant dans l'ampleur de son ombre ! Et comme il a, pour eux, lavé de toute impureté les sources de ses mérites, puisse-t-il de même soumettre la terre à son très haut pouvoir de commander ou de défendre, et les têtes de ses ennemis à la sentence de son sabre[46]. »

Le même ne se prive pas par ailleurs de trouver Saladin d'une brutalité excessive. Au cours d'une bataille près de Homs la pluie a rendu le sol impraticable pour les chevaux. Les fantassins se battent en corps à corps, l'un d'entre eux s'éloigne pour se réfugier dans Homs :

« Salâh ad-Dîn était posté avec moi, et nous regardions devant nous ces fantassins. L'un d'eux courut rejoindre ceux de Homs, auxquels il se mêla. Salâh ad-Dîn, qui l'avait vu dit à l'un de ses compagnons :

– Amenez ici l'homme qui était à côté du fuyard !

Quand ce fut fait, il demanda :

– Quel était celui qui se trouvait à côté de toi et s'est enfui pour aller à Homs ?
– Par Dieu, Seigneur, répondit le fantassin, je ne le connais pas.
– Tranchez-le par le milieu ! ordonna Salâh ad-Dîn [... Usâma essaie vainement d'adoucir la peine ...]

Salah ad-Din dit :

– Quand quelqu'un déserte, on prend celui qui était à ses côtés et on lui coupe le cou, ou bien on le tranche par le milieu.

On l'entrava comme le voulait l'usage, et on le coupa en deux[47]. »

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