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L'islam dévoilé aux Nuls
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22 novembre 2012

L'abattage rituel selon le Coran

 

ABATTAGES RITUELS HALAL ET CASHER :  ASPECT RELIGIEUX, RISQUE SANITAIRE,  SOUFFRANCE ANIMALE 

Voir une étude complète des problèmes de l’abattage hala/kasher à l’adresse :  

http://www.notre- planete.info/actualites/actu_2508_abattage_Halal_Casher_souffrance_animale.php 

Extraits ci-dessous :

abattage_rituel

                       

<

Pire, la viande Halal peut être contaminée à la fois par la régurgitation et l'effondrement des défenses immunitaires de l'animal au moment de l'égorgement. Alain De Peretti, vétérinaire rural, souligne même le "gigantesque bond en arrière" des autorités qui acceptent la commercialisation de cette viande, à l'encontre des progrès réalisés jusqu'alors en terme de sécurité alimentaire en Europe. Les toxi-infections alimentaire risquent donc d'être de plus en plus nombreuses notamment chez les personnes qui ne cuisent pas suffisamment leur viande.[9]

Gilbert Mouton, ancien professeur à l'école vétérinaire de Maison Alfort explique[10] qu'un abattage rituel ne permet pas de protéger la viande contre les risques d'infection bactérienne car l'œsophage, brisé, ne plus être ligaturé pour empêcher le versement de l'estomac, voire des poumons sur la carcasse. Ainsi, dans 15 à 20 % des cas, les germes se déposent sur le collier (cou de la bête) contribuant à augmenter les risques d'infection par E. coli notamment sur les steaks hachés.

De plus, la pratique de la betiqua (inspection dans le rituel casher), lorsqu'elle est réalisée sur des carcasses au sol, peut entraîner la souillure de la peau de l'animal (Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d'abattage à la Direction Générale de l'Alimentation[11].

Malheureusement, l'actualité témoigne de la multiplication des infections pour le consommateur final.

Une dangereuse banalisation de l'abattage rituel

La banalisation de l'abattage rituel, notamment Halal, profite d'une complaisance du monde politico-médiatique et de l'Etat, sous couvert du respect des religions, en oubliant celui de la laïcité, de la santé et de la loi.

Ainsi, depuis le 1er septembre 2010, la société Quick, dont l'Etat est actionnaire majoritaire via la Caisse des Dépôts et Consignations, a "décidé de pérenniser l'offre [exclusive] de produits à base de viande halal dans les 8 restaurants du test et de l'étendre à 14 nouveaux restaurants". Objectif affirmé : "cette offre pouvait être une source de croissance intéressante." En effet, une étude réalisée par l'agence Solis en décembre 2009 et publiée en janvier 2010 montre que la croissance annuelle du marché halal est de 15% et que son chiffre d'affaires pourrait atteindre 5,5 milliards d'euros en 2010...[12]. Notons qu'en Israël, McDonald ne vend que de la viande Casher.

L'appât du gain n'a pas échappé aux grandes et moyennes surfaces qui proposent de plus en plus de viande Halal dans leur rayon boucherie.

Bien d'autres exemples témoignent de la banalisation de l'abattage rituel Halal, y compris dans les organes de la République française pourtant laïque :

Soulignons enfin que chaque kilo de viande abattue selon les rites Halal ou Casher profitent à leurs représentants religieux. A ce titre, Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon déclarait : "Par kilo de viande, la certification halal coûte entre 10 à 15 centimes d'euros"[13], une manne financière non négligeable !

Dans le même temps, d'après les bilans établis par le Service de la statistique et de la prospective (SSP), la consommation française de viande de porc, considérée comme impure par les musulmans et les juifs est en recul[14].

La majorité de l'abattage en France serait rituel

Si l'étourdissement ne semble pas toujours appliqué correctement dans les abattoirs français comme en témoigne le procès de l'association L214 contre Charal, son absence est toutefois autorisée dans le cadre de dérogations liées à l'abattage rituel. En effet, l'abattage rituel nécessite que les animaux soient saignés alors qu'ils sont encore pleinement conscients.>>

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1)      L’abattage rituel des animaux, selon le rite musulman (halal) et juif (casher) est un vrai problème, qui concerne tous les Français.       

2)       Cet abattage rituel comporte 3 aspects

a) la souffrance animale

b) l’aspect réglementaire

c) le risque sanitaire de ce type d’abattage

L’abattage rituel halal et casher sans étourdissement préalable (merlin) concerne actuellement 80% des bovins en France (en Belgique 92%), et des pourcentages inférieurs semble-t-il pour les caprins (chèvres) et les volailles.

Ce mode d’abattage consiste donc à saigner l’animal en lui tranchant la gorge (carotides, trachée, œsophage). La moelle épinière n’est pas atteinte et continue à alimenter le cerveau par de petites quantités de sang, permettant à l’animal de conserver sa conscience pendant de longues minutes d’agonie. L’animal ne peut plus ingurgiter car son œsophage est coupé.

Pendant qu’il se vide de son sang, il souffre énormément et se débat violemment, les yeux exorbités, la langue sortie et couverte de bave, comme le montrent d’affreuses vidéos sur Internet. L’agonie peut durer jusqu’à 14 minutes.

En France, depuis 1974 la réglementation officielle exige l’étourdissement préalable de l’animal afin de lui épargner ces souffrances inutiles. Mais elle est de moins en moins respectée, sous la pression des deux communautés religieuses musulmane et juive. Sous cette pression et pour des raisons de rentabilité financière, les abattoirs pratiquent majoritairement l’abattage halal, mais n’en informent pas les consommateurs non- musulmans et non- juifs par un étiquetage systématique des viandes.

Il n’y a aucune « transparence » sur le mode d’abattage, ce qui est parfaitement inacceptable.

Enfin et cela n’est pas le moindre aspect du problème, ce mode d’abattage fait courir aux consommateurs un risque sanitaire sérieux. Pourquoi ?

Pour une raison simple : lorsque son œsophage est coupé, l’animal est en position horizontale et y est maintenu (bovins, moutons).Les caprins sont par contre suspendus par une patte.  Il existe donc pour toutes les catégories d’animaux un risque que ceux- ci vomissent et donc que le bol alimentaire qui se trouve dans son estomac se déverse en partie par l’oesophage tranché et de là, sur les viandes qui se trouvent autour et font partie des viandes destinées à la consommation.

Le bol alimentaire contient des bactéries, du suc gastrique… d’où des risques sérieux de contamination des viandes et de l’alimentation humaine.

D’abord, que signifient  « halal » et « casher » ? Ils signifient « permis », « bon pour la consommation ».

Que dit le Coran sur l’abattage des animaux destinés à la consommation humaine ?

Sourate 2 "La génisse":

Verset 167. Ô vous qui croyez ! Mangez de bonnes choses, dont Nous vous avons pourvus, et rendez grâces à Âllah, si vous êtes ses adorateurs.

Verset 168. Il vous a seulement interdit (de manger) les animaux morts, le sang, la chair de porc, et toute chair sur laquelle aura été invoqué (un nom divin) autre qu'Âllah. Mais celui qui y est contraint par la nécessité, sans être rebelle ni transgresseur il n'y a pas de péché pour lui. En vérité, Âllah pardonne : Il est miséricordieux."

Donc, pour les responsables musulmans (et les rabbins juifs) au vu de S. 2 v. 168, si l’animal est tué sans avoir été préalablement vidé de son sang, il existe un risque pour qu’il ne puisse ensuite être complètement vidé de son sang, de sorte que dans ce cas la prescription du verset 168 ne serait pas respectée..La viande serait saignante - ce qui ne dérange pas de nombreux consommateurs chrétiens, (dans les restaurants il est rituel de demander « beefsteack saignant ou à point ? ») donc non « halal » et non « kasher ».

Pour les musulmans et les juifs, cette considération prime les deux autres :

-       terribles souffrances infligées inutilement aux animaux de boucherie conscients pendant une agonie qui peut durer jusqu’à 14 minutes.

 

Ce qui est incompatible avec les lois françaises sur le devoir de protection animale d’une société civilisée. En France un homme qui torture et tue son chien, son chat, est passible de prison et d’une forte amende.

-       Risque sanitaire élevé d’intoxication des viandes situées entre la face de l’animal et son œsophage et destinées à la consommation. Ce risque a été clairement expliqué par des médecins lors d’émissions télévisées.

 

Une étude de 2007 qui peut être consultée sur Internet cite les extraits de la Torah juive qui réglementent la viande casher.

 

Le verset 168 de la sourate 2 du Coran n’interdit pas l’étourdissement préalable dès lors que celui- ci n’a pas pour effet de tuer l’animal.

Les spécialistes affirment que cela est le cas avec les moyens réglementaires utilisés en France – le merlin subitement enfoncé dans le crâne de l’animal pour le rendre inconscient afin qu’il ne souffre pas pendant qu’il est ensuite saigné.

La question que peuvent se poser les béotiens est donc : « le coup de merlin sur la tête de l’animal (vache, cheval mais pas la chèvre, le mouton…) le tue-t-il net ou le rend-t-il seulement inconscient ?

Si l’on admet qu’il est seulement rendu inconscient donc n’est pas tué net avant d’être saigné, cette méthode d’abattage serait compatible avec le verset 168 de la sourate 2, et donc « halal » ou « kasher ».

D’après les avis de professionnels (étude précitée de 2007) le merlin n’empêche pas ensuite un écoulement normal et complet du sang..

Extrait d’une étude de 2007 sur les abattages rituels « casher » et « halal »

<<…Lors du tranchage de la gorge, l’œsophage est lui aussi sectionné. Du fait des réactions physiques de l’animal conscient et d’un stress maximal, la bête peut vomir. Les contenus de l’estomac appelés "bols alimentaires" ou "résidus stomacaux" contiennent beaucoup de bactéries, des parasites, du suc gastrique (acide). Lors de cette régurgitation, cette vomissure souille la plaie de la gorge tranchée, se mélange au sang expulsé et se répand sur les viandes du cou consommables appelées "collier" ou "chaînette". Le vomi peut également entrer dans la trachée artère de l’animal et ainsi passer dans le poumon, ce qui aura pour effet de contaminer la cage thoracique.

L’abattage rituel offre donc un risque sanitaire supplémentaire possible. >>

L’auteur de cette analyse ajoute avoir personnellement observé chez des non- musulmans, dans une ferme  de l’Ouest de la France l’abattage d’un veau de la façon suivante :

-       Le veau est suspendu la tête en bas ; L’artère carotide du veau est sectionnée au niveau du cou mais l’animal n’est pas égorgé, son œsophage n’est pas tranché.

-       On laisse le sang s’écouler jusqu’à ce que le veau soit complètement vidé de son sang

-       Le veau ne meurt qu’après avoir été complètement saigné, mais semble-t-il sans souffrances visibles ou évidentes.

Un tel mode d’abattage est conforme aux prescriptions du Coran et de la Torah et ne paraît pas infliger de souffrances excessives à l’animal.

Il pourrait être généralisé aux caprins et moutons.

En résumé 3 facteurs interviennent dans la problématique des animaux de boucherie :

  1. Limiter ou épargner à l’animal des souffrances      inutiles, inacceptables      dans une société civilisée comme la France. [NB. - Les sacrifices religieux d’animaux ont été interdits par le      christianisme dès le IVème siècle ap. JC.] En effet selon  des professionnels de la boucherie      interrogés, l’animal peut être saigné complètement juste après avoir été      assommé ou étourdi par un merlin.
  2. Eviter tout risque sanitaire lors de l’abattage, donc il ne faut pas que le      contenu de l’estomac de l’animal vienne se déverser par               l’ oesophage sur des      viandes destinées à la consommation. Ce qui proscrit l’abattage halal.

Ce mode d’abattage avec étourdissement préalable est réglementaire et obligatoire en France, mais d’après les enquêtes menées, n’est plus respecté – officieusement - dans 80% des cas (au moins). Et ce suite aux pressions religieuses subies par les abattoirs en faveur du « halal » et qui n’ont pas été contre- balancées par l’administration sanitaire française..Laquelle a laissé faire, n’osant pas s’opposer à la communauté musulmane (et juive).

(Le cas des porcs est à part car les musulmans ne consomment pas de porc)

Ce mode d’abattage halal a été d’autant plus facilement accepté par les abattoirs français qu’il simplifie l’abattage et donc le rend plus « rentable »…moins onéreux au détriment des animaux, lesquels endurent des souffrances qui auparavant leur étaient épargnées. Mais ils ne peuvent porter plainte en justice et n’ont pas de défenseurs !

On n’a jamais entendu la SPA (Société Protectrice des Animaux) protester contre l’égorgement halal. Seule Brigitte Bardot l’a fait : elle a été poursuivie en justice - pour d’autres faits, pour « incitation à la haine raciale »…

  1. Aspect religieux : l’interprétation      de la Sourate 2 verset 168 du Coran et de la Torah  d’après laquelle l’animal ne doit pas      être mort avant d’être vidé de son sang car –      selon les musulmans et des rabbins -       il y aurait alors un risque qu’il ne puisse ensuite être      complètement vidé de son sang.. . Ce qui exigerait donc qu’il soit saigné      « à vif », avant d’avoir été tué.

Ce à quoi on peut répliquer qu’il est possible de le saigner à vif sans l’égorger halal avec tranchage de l’œsophage, mais uniquement en coupant la carotide pour limiter au maximum la souffrance de l’animal.

La France est une République laïque, dans laquelle la religion est séparée de l’Etat. La loi qui s’applique est la loi française, non la loi coranique sur l’abattage des animaux de boucherie.

Seules devraient être pris en considération les critères 1 et 2 ci-dessus :

1) sécurité sanitaire et hygiène publique, protection des consommateurs, principe de précaution,

2) suppression pour l’animal de souffrances inutiles.

 

 

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Commentaires
A
L'égorgement (sectionner d'une traité l'artère du cou de l'animal) équivaut pour l'animal une mort instantané. Donc sans souffrance.<br /> <br /> <br /> <br /> Bien essayé tout de même.
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M
c'est un rite barbare issu de l'ancien testament et il convient de le bannir des territoires de la république , les mécontents importeront leur viande avec une taxe qui financera les écoles laïques.
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S
Je désire avoir plus d'infos sur le lien entre étourdissement et rituel. Les religions concernées interdisent-elles l'étourdissement ?
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